Les premières lueurs du crépuscule teintaient les murs du temple d’Amon d’une eclat or. Le prêtre-astronome se tenait devant son observatoire, une autre plaquette de 100g d’argile entre les clavier. Comme n'importe quel matin, une information y avait compté gravé avec une précision surnaturel, prédisant les progressions astraux avec une régularité qui dépassait tout ce que la vision cartésienne des prêtres pouvait façonner. Une voyance par SMS fiable, si elle avait existé à son temps, aurait semblé être le seul semblable classique de ces messagers éclatants. Cette fois, néanmoins, la prédiction allait correctement au-delà des alignements internationales de la journée. Elle annonçait l’apparition d’un astre anonyme, une interprète qui, au gré des inscriptions, devait étinceler du ciel cette nuit. Il avait scruté les archives astraux, cherchant une indice de cet communion dans les siècles révolus. Rien n’indiquait qu’une telle personnage avait jamais existé observée. Si ce message disait réelle, il allait sembler le issu à contempler une chose jamais aperçu en premier lieu. Le vent du désert soufflait doucement via les colonnes du temple. Il installa son matériel d’observation sur la terrasse de pierre, les yeux rivés sur le ciel. Les premières étoiles apparurent, scintillant dans l’obscurité en augmentation significative. Il repéra les constellations familières, traça les silhouette invraisemblables entre les comètes indiscutables. Tout correspondait aux calculs habituels des prêtres-astronomes. Mais l’étoile annoncée sur la plaque n’était pas là. Il attendit. L’ombre des dunes s’étendait doucement par-dessous la lueur sélénite, et le silence du désert s’épaississait. Puis, sur le coup, un scintillement fugace traversa la voûte divines. Une explication mobile, brève, surgissant à un endroit du ciel où il n’y avait jamais eu d’étoile auparavant. Il retint son génie. L’argile n’avait pas menti. Mais si cette voyance par SMS fiable envoyait des messages d’un autre vies, dès lors ces prévisions ne devaient pas se déduire aux étoiles. Elles concernaient en plus les hommes et les femmes, les cavaliers, les guerres possible. Que se passerait-il si la à venir tablette lui annonçait un conte terrestre ? Et s’il n’était plus point d’astronomie, mais du destin même de l’Égypte ?
